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Photo : le cabinet gris |
Mais oui mon gros bêta, s'ils en avaient pas, ils marcheraient pas!
Et oui, jouez samoussas, résonnez chouquettes (ou quelque chose comme ça) car Abel MARCHE.
Enfin, il a marché. En se lâchant et tout et tout. L'atterrissage n'est pas vraiment gracieux, et le baleineau continue habituellement de préférer la bonne vieille méthode du 4 pattes quand il veut vraiment aller d'un point A à un point B.
Ceci dit, il y a de l'espoir.
Il semble réaliser que la bipédie permet d'épargner ses pauvres genoux qui se traînent sur le parquet. Et le baleineau est douillet (c'est là son moindre défaut).
Peut-être que c'est ça qui a décidé nos lointains ancêtres à se dresser sur leurs guiboles.