vendredi 19 novembre 2010

Deux pas en avant, un pas en arrière...

Ou "de la compliquitude du baleineau".

Le baleineau est un farceur : parfois, il oublie qu'il a grandi et qu'il a appris des choses. A s'endormir seul par exemple, ou à "être tout seul" plus simplement. Conformément au principe bien établi selon lequel "un bébé ne fait pas de caprices avant 1 an", il ne le fait pas exprès.

On avance donc doucement, deux cases en avant, une case en arrière...mais on avance quand même. On a réappris à s'endormir tout seul comme un grand, en pleurant certes, mais ça c'est une constante du baleineau, avec doudou de rigueur et petite musique gainsbourienne. Pas de panique, tout cela n'est que temporaire.

Ceci dit, l'absence de caprices n'empêche pas le "Abelneau" (mouahaha) de nous tester : pour peu que l'on soit accaparé par autre chose (un épisode de "The Office" ou "Community", au hasard) le rusé renard chouine un bon coup dans son transat pour qu'on le regarde et dès qu'il a attrapé nos yeux nous gratifie d'un grand sourire vainqueur. Si ça c'est pas de la malice, je suis un schtroumpf.

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