lundi 26 juillet 2010

Trois semaines plus tard

Quelques nouvelles du crapouilleau:

- l'allaitement n'aura duré qu'une semaine, désolée mon grand mais tu es une sangsue. J'ai besoin de mon espace moi aussi. Et puis, il kiffe tellement le biberon que ce serait dommage de l'en priver. Surtout qu'on a enfin réussi à le caler sur un rythme de 4h (sauf la nuit où il nous laisse un répit plus long, merci ma caille).

- le haricot perce presque la courbe de taille, mais reste bien dans la moyenne de celle de poids. La semaine prochaine, il verra son troisième pédiatre (sans compter celle de la maternité). Mon prochain post portera peut-être sur les pédiatres tiens, on rigolera.

- on s'amuse à bouger de droite à gauche devant lui en le fixant et on hallucine parce qu'il nous suit des yeux. 8 sur l'échelle de la Gagatude (pas elle hein).

- il fait des presque sourires (le mot-clé ici étant "presque").

- il a vu la mer : il a eu un peu peur soit du bruit des vagues, soit du vent qui soufflait très fort (je vous rassure il était bien emmailloté dans son écharpe de portage), soit des marmots qui couraient partout en hurlant.

- il déteste être tout seul. Le top du top : dormir entre Papa et Maman Crapaud avec un petit doigt à téter (le petit doigt pouvant appartenir indifféremment à Papa ou Maman Crapaud). Le nirvana : être dans l'écharpe de portage, contre moi, dans une voiture qui roule. Avec le petit doigt à téter, of course.

- il a peur le soir. Donc on a droit presque tous les jours à une petite crise d'angoisse à partir de 19 ou 20 heures, jusqu'à ce qu'il tombe de fatigue, à peu près vers 23 heures. Une fois qu'on a compris qu'on n'y pouvait pas grand-chose, on panique moins.

Voilà, je crois que c'est tout. Bien sûr c'est le plus beau, le plus intelligent et le plus grand de tous, et on est fiers comme Artaban quand il rote, pète, et plus si affinités.

Photo : "mais toujours le poing levé"

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