jeudi 18 août 2011

In The Country

La campagne, ça vous gagne.

Ces trois semaines passées au vert t'ont bien réussi, mon baleineau:

Tu as appris à te relever tout seul, sans appui (mais tu ne t'es pas encore lancé dans l'aventure de la marche).

Tu as pris un bain en pleine nature, avec une bonne dizaine de canots et de gobelets en plastique gentiment fournis par Mémie.

Tu as caressé une poule. Ne riez pas, les poules de sa Mamie sont très sociables (enfin, certaines).

Tu as fait une overdose de fraises et de haricots verts du jardin de Pépé Marcel. La vue des fraises te mettait dans un état second, on frôlait l'hystérie.
Tu as aussi fait une overdose de Barbapapas!

Tu as joué pour la première fois avec des poupons, ceux qui habitent chez Mémie. Vu ton intérêt pour la chose, tu en as même reçu un à toi, en cadeau. Et maintenant, tu me passes régulièrement le poupon et son biberon pour que je lui donne la becquée. Ta façon à toi de pouponner (ça promet).

Tu as fait des parties de poker sans fin avec tes cousins, qui ont été d'une patience exemplaire.

Tu es tombé amoureux de ta tante Elise.

Tu as essayé deux poussettes inconnues, deux lits (plus celui de tes parents), deux chaises hautes, trois baignoires et découvert une foule de nouveaux jouets.

Tu comprends de nouveaux mots, comme "tu donnes?", "il est où ton bébé/doudou/nounours/biberon?" et tu tends ton pied pour mettre tes chaussures.

Tu adores mettre des trucs autour de ton cou : mon foulard, mon mètre ruban, un t-shirt qui traîne, une ceinture...et te promener avec comme un tailleur miniature.

Tu dis "Môman" et ça me fait fondre.

mardi 16 août 2011

Et Abel Se Leva

Abel tient debout. Il ne marche pas encore, mais il se lève tout seul et tient debout quelques secondes. Juste le temps de nous appeler ("hé! hé!!") de faire un grand sourire et de retomber lourdement sur son popotin.

Les vacances en famille lui ont fait un bien fou (à nous aussi) et il a appris plein de nouvelles choses. Un compte-rendu plus détaillé à venir!

P.S : note pour moi-même, "plus jamais de chaussettes rouges".